Un restaurant éphémère sur le mont Everest

Publié le par Journal du Luxe

James Sharman ouvrira un restaurant éphémère sur le mont Everest en décembre 2016. L’ancien cuisinier du restaurant Le Noma à Copenhague fait voyager sa gastronomie aux quatre coins du monde de Bangkok à Florence, en passant par Buenos Aires et Reykjavik.

James Sharman à la conquête du mont Everest en décembre

Faire partager son talent dans un endroit paradisiaque, c’est aussi ça le luxe. James Sharman a lancé le pari de mettre en place son restaurant éphémère au mont Everest.

James Sharman est un ex-cuisinier du Noma, élu meilleur restaurant du monde en 2014 par le magazine Restaurant. C’est à 5 634 mètres d’altitude qu’il proposera à ses convives de déguster de délicieux repas népalais revisités, dans un cadre idyllique.

Mais pour avoir le privilège de s’offrir ce moment inoubliable, les 15 participants devront tout d’abord faire preuve de courage. Partis de Katmandou, ils se lanceront dans une randonnée d’une durée de deux semaines vers le camp de base népalais de l’Everest du 10 au 23 décembre.

James Sharman

C’est seulement après cette épreuve qu’ils pourront découvrir les surprises gastronomiques concoctées par James Sharman. Le talentueux cuisinier usera de son expérience acquise aux côtés de Tom Aikens pour offrir à ses clients un repas d’exception sur le mont Everest.

Des restaurants éphémères aux quatre coins du monde

Le mont Everest n’est qu’une étape dans le périple engagé par James Sharman à l’automne 2016 à travers le « One Star House Party ». Le concept : réaliser un tour du monde en 20 étapes en montant à chaque fois une restaurant éphémère.

Le voyage a débuté à Pékin. Le restaurateur a jusqu’ici invité ses convives à déguster sa gastronomie à Ho Chi Minh et Bangkok. Le camp de base népalais sur le mont Everest est certainement pour lui l’évènement le plus attendu.

Pour participer à cette aventure unique, il est encore temps de s’inscrire jusqu’au 29 novembre. Pour ce faire il faudra débourser 990 euros par personne et s’armer d’une bonne dose de patience pour atteindre l’Everest.

par Journal du Luxe