Fabergé dévoile un œuf en l’honneur de Game Of Thrones.

Pour les 10 ans de la série de HBO, le joaillier Fabergé a créé un œuf unique en référence au personnage culte de Daenerys Targaryen.

Un partenariat entre joaillerie et cinéma.

Aussi rares que précieux, les œufs de Fabergé restent des références dans l’histoire des arts joailliers. Rendant hommage à la tradition des œufs de Pâques impériaux, la maison fait ici un pas vers les nouvelles générations en s’associant à Warner Bros. Consumer Products.

Imaginée par Liisa Tallgren, designer chez Fabergé, et Michele Clapton, costumière de la série, la pièce unique fait référence aux œufs de dragon de Daenerys Targaryen, héroïne de la série américaine Game of Thrones.

« Les choix de conception sont éclairés par le voyage de Daenerys, d’orpheline exilée à monarque conquérante et sa quête permanente du Trône de fer » décrit Fabergé. Pour correspondre parfaitement à l’univers de la série, l’œuf est texturé d’écailles évoquant la peau d’un dragon, dans un dégradé de gris, noir, rouge, violet et bleu. Le tout parsemé de diamants et de pierres de lune arc-en-ciel.

« Le design fait référence au parcours incroyable de Daenerys Targaryen et à l’importance de la couleur dans ses costumes, à sa passion pour ses dragons et à la façon dont elle a dépeint les messages via ses bijoux tout au long de son parcours dans la série. »
Michele Clapton, costumière de Game of Thrones.

Pour aller plus loin dans le storytelling de la pièce, l’œuf dévoile, en s’ouvrant, une couronne. En son centre, un rubis taille poire provenant de la mine Montepuez de Gemfields au Mozambique, repose sur une base de cristal scintillante. La création est surplombée par un dragon ailérouge serti de pierres précieuses.

Fabergé ambitionne d’exposer cette œuvre, dont la valeur est fixée à un peu plus d’1,87 million d’euros, afin de faire profiter les amateurs d’art et de cinéma.

En 2018, la maison joaillère avait déjà marqué les esprits en s’associant à Rolls-Royce le temps d’un œuf en cristal de roche renfermant l’emblématique statuette « Spirit of Ecstasy ». La pièce était alors le deuxième œuf de classe impériale à être commandé depuis 1917.