Dior crée une collection autour de l’opale

Dior a misé sur l’opale pour sa nouvelle collection de joaillerie. Une collection baptisée « Dior et d’Opale » imaginée par la directrice artistique Victoire de Castellane.

Victoire de Castellane parie sur l’opale pour la nouvelle collection de Dior

L’opale a toujours fait l’objet de pierre précieuse privilégiée par les artisans joailliers de Dior. La Maison française a décidé de dédier une collection de bijoux principalement conçus à partir de l’opale.

Un projet initié par Victoire de Castellane, directrice artistique de la marque de luxe. La créatrice a imaginé 9 bijoux mettant en vedette cette pierre précieuse d’exception. Une pierre précieuse harmonisée avec des diamants de multiples tailles.

En résulte la collection « Dior et d’Opale » contenant des bagues, bracelets, colliers et boucles d’oreilles. Des créations sublimant l’opale placée en leur centre.

La collection comprend également dix bijoux réunis sous le nom « Petit Panache » qui s’articule autour de la plume. Des plumes conçues en or jaune, blanc ou rose et serties de diamants.

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L’opale au cœur d’une collection de montres Dior

Dior a également disposé des pierres d’opale au sein d’une série de montres joaillières. La pierre précieuse occupe une place majeure au sein des gardes-temps de la Maison française.

Située au centre, l’opale pivote et laisse apparaître des cadrans entièrement sertis de diamants. Les lunettes et les bracelets ont également été conçus pour faire ressortir au mieux cette pierre si rare.

L’opale se révèle alors sous son meilleur profil au milieu de diamants, d’émeraudes, de rubis, d’améthystes, de saphirs roses, ou encore de grenats spessartites, tsavorites, démantoïdes et de tourmalines Paraïba.

L’opale est incontestablement une pierre précieuse qui inspire Victoire de Catsellane. La directrice artistique de Dior la qualifie de « pierre très poétique. Elle invite au conte, à la magie. Quand je la regarde, je vois la terre de loin, les océans, les archipels, les reflets des étoiles sur les flots… Je la vois comme la pierre de la nature par excellence, une pierre tellement liée au féminin qu’elle en devient organique ».