Ruinart poursuit son engagement éco-artistique et soutient la sculptrice Lélia Demoisy
Publié le par Anaïs Clavell
La maison de champagne poursuit son programme de mécénat alliant art et engagement durable. Elle vient d’annoncer son partenariat avec l’artiste française Lélia Demoisy pour l’année 2025 dans le cadre de ses "Conversations avec la nature".
Une initiative artistique, philanthropique et durable
La Maison de Champagne du groupe LVMH reconduit son programme Conversations avec la Nature. Après le projet collégial qui a réuni six artistes internationaux en 2024, la marque soutient aujourd’hui le travail de la française Lélia Demoisy.
La trentenaire installée dans les Yvelines diplômée des Arts Décoratifs de Paris est multi-casquettes : sculpture, photographie, installations. Son sujet de prédilection ? L’étude de la relation de l’individu à la nature et au vivant. La figure de l’arbre notamment, qu’elle associe le plus souvent à l’acier, occupe une place fondamentale dans son travail.
Pour fêter l’ouverture du Pavillon Nicolas en octobre dernier - nouveau bâtiment intégrant le site historique de la maison Ruinart à Reims - Lélia Demoisy avait déjà été invitée à imaginer une œuvre pour magnifier le lieu. C’est ainsi qu’est né Entre Nous, une sculpture en acier blanc entourant deux érables du jardin "pour souligner les connexions invisibles entre ces deux arbres, mais aussi le fait que l’ensemble d’un écosystème est plus riche que la somme de ses parties", détaille le communiqué. "Mon objectif est de permettre aux spectateurs de connaître de nouvelles expériences avec le vivant, afin de mieux appréhender les liens d'interdépendance avec le reste du monde naturel", poursuit l’artiste.
Des thèmes devenus chers à Ruinart, qui, depuis quelques années, se positionne en défenseur de la biodiversité et de l’économie durable. La marque multiplie les initiatives en ce sens : arrêt de l’utilisation des transports aériens, projet de vitiforesterie du vignoble de Taissy, étui seconde peau éco-conçu… Le tout mis en valeur par des artistes annuellement invités à réinterpréter le patrimoine Ruinart.
Une stratégie qui pourrait booster ses chiffres liés à l’oenotourisme, un levier de croissance considérable, mais aussi séduire la nouvelle génération que l’on sait très sensible aux questions liées à la durabilité et à l’environnement.