Hermès dans le Top 25 France des entreprises dotées des meilleures équipes dirigeantes selon les employés.

Publié le par Journal du Luxe

Récemment récompensée pour ses engagements en matière de diversité, la maison de luxe s'inscrit parmi les entreprises plébiscitées dans le dernier classement Glassdoor.

Hermès, 23ème au classement Glassdoor en matière de leadership.

 

Etabli sur la base de 56.000 avis anonymement émis entre avril 2021 et avril 2022 par les employés d'entreprises concentrant un effectif d'au moins 1.000 personnes, cette étude vise à mettre en lumière les sociétés françaises primées pour la qualité de leur leadership.

Pour cette année 2022, le trio de tête est emmené par Dataiku - spécialisé dans la data science - suivi par Retail Renault Group et Contentsquare, alors que l'informatique s'impose comme le secteur le plus représenté du Top 25 France.

Parmi les huit domaines d'activité présents au sein de ce classement, Hermès s'affiche comme la seule entreprise représentant l'industrie du luxe. La maison se classe ici 23ème, avec une note de 4 sur 5. À noter que la griffe, qui comptait l'année dernière 17.595 employés dont plus de 62% sur le territoire français, s'était également distinguée en début d'année au sein du Top 10 Glassdoor des meilleurs employeurs en France.

  1. Dataiku
  2. Retail Renault Group
  3. Contentsquare
  4. Tape à L'Oeil
  5. Murex
  6. Infotel
  7. Vulcain Ingénierie
  8. AXA France
  9. Bpifrance
  10. onepoint
  11. mc2i
  12. Le Bon Coin
  13. Hardis Group
  14. Foducial
  15. Dell Technologies
  16. Wavestone
  17. Google
  18. Criteo
  19. Schneider Electric
  20. Apple
  21. bioMérieux
  22. Salesforce
  23. Hermès
  24. Mars
  25. SAP


Cette étude relative au management - qui révèle notamment que "les employés sont deux fois plus disposés à parler du management lorsque celui-ci est médiocre" - revient également sur les termes les plus employés par les équipes pour décrire les équipes dirigeantes. Parmi les terminologies positives, citons "la bienveillance", "l'écoute", "l'autonomie" ou encore "l'inclusivité". Parmi les termes critiques, le rapport souligne la reprise des mots "pression", "mauvais", "toxique" ou encore "micro-management".

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