Richemont récompensé pour sa position RSE et de gouvernance.

Le groupe de luxe obtient une note de risque ESG Sustainalytics de 10,7 et fait ainsi partie des 2% des 15.000 entreprises les mieux évaluées au monde en termes d'environnement, de mesures sociales et de gouvernance. 

Richemont : un risque "bas" pour les investisseurs.

Le groupe Richemont peut rajouter une note à son tableau de certifications. Après avoir obtenu le score environnemental CDP "A" 2021, s'être classé parmi les meilleurs employeurs du monde selon Forbes, mais aussi à la suite de la certification B Corp de sa maison de mode Chloé, la société marque une nouvelle étape dans sa stratégie d'entreprise.

Richemont, qui comprend notamment les marques Cartier, Van Cleef & Arpels ou encore Alaïa,  vient ainsi de recevoir la note de 10,7 sur l'échelle de risque ESG de Sustainalytics, contre 11,3 en 2020. Ce système de notation évalue les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance d'une entreprise afin d'émettre un score qui permettra aux investisseurs, fournisseurs et collaborateurs de prendre leurs décisions d'investissement en toute transparence.

Avec ce score, Richemont fait partie des entreprises au risque "bas", soit la seconde catégorie de risque sur les cinq établies. Le groupe intègre ainsi la liste des 2% de firmes mondiales les mieux notées au sein de l'évaluation annuelle de Sustainalytics et s'insère dans le Top 10 Europe.

"Faire des affaires de manière responsable est au cœur des valeurs de Richemont et une référence essentielle pour nos clients et nos investisseurs" a expliqué Bérangère Ruchat, directrice du développement durable de Richemont. Le groupe de luxe a en effet activé une vaste série d'opérations ces dernières années en matière de politique RSE avec, notamment, la récente nomination d'une Chief Sustainability Officer et son départ annoncé du Responsible Jewellery Council, tout en démontrant sa stabilité financière à travers la hausse de ses ventes en 2021.