Les trois notions-clés autour de la renaissance de My Blend.
Publié le par Pauline Duvieu
Comment réinventer une marque de beauté et cosmétique à l'ère post-covid ? C'est le défi que s'est lancé Clarins en apportant un nouveau souffle à My Blend sous l'impulsion du docteur Olivier Courtin.
La technologie au service de la beauté.
S'il y a bien une tendance de consommation qui touche toutes les industries du luxe, c'est incontestablement l'usage de la technologie. Cette vision, primordiale aux yeux des consommateurs, n'a d'ailleurs pas échappé à My Blend. Incarnation de la renaissance de la marque, l'application mySkinDiag offre ainsi aux clients des diagnostics de peau spécialisés : grâce à l'analyse de photos et à un questionnaire, la plateforme online délivre un bilan sur les problématiques cutanées et les solutions à apporter.
Énergies LED, cryo, ultra-sons et micro-courants... La marque entend se positionner sur le skincare sur-mesure aidé par le numérique. Un recours à la technologie, déjà employé par Shiseido, dont l'enjeu sous-jacent à l'expérience client n'est autre que de booster la conversion.
La stratégie de communication My Blend entre inclusivité et partage.
Bien qu'il soit devenu essentiel pour une marque de beauté de choisir un panel d'ambassadrices représentant la pluralité des profils de consommatrices, My Blend a misé sur plusieurs femmes influentes exerçant dans divers domaines. En tête d'affiche de la dernière campagne : Sarah Harris, deputy editor et fashion features director chez British Vogue ; Tylynn Nguyen, designer, mannequin et creative consultant ; ou encore Constance Arnoult, actrice et mannequin.
Pour renforcer sa communication, la marque souhaite organiser des lives Instagram thématiques, du bien-être à la nutrition, et mise sur une série de podcasts "Emotion de Peau" où, chaque mois, des femmes seront invitées à raconter leur relation avec leur peau.
La beauté durable.
My Blend axe son ADN autour de la durabilité. Si la marque du groupe Clarins commercialise des produits dont les packagings sont composés de moins de 4% de plastique, elle projette d'atteindre prochainement le zéro plastique. En parallèle, My Blend mise sur une supply chain locale, caractérisée par un approvisionnement des ingrédients majoritairement européen tandis que la production et la formulation des gammes se veulent exclusivement made in France.